L’histoire du SIVOM
Le SIVOM de Boussières est un syndicat à la carte, avec une compétence obligatoire : l’entretien général des communes, et des compétences optionnelles.
Il joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement et la gestion des services publics locaux pour ses communes membres. Depuis sa création en 1977, cet établissement public à caractère intercommunal a su répondre aux besoins collectifs en mutualisant des compétences variées, souvent indispensables au quotidien des habitants.
Le SIVOM permet aux communes de bénéficier d’une meilleure gestion des services publics, tout en optimisant les ressources disponibles.

Les compétences couvertes par le SIVOM incluent :
- Entretien général des communes (voirie, bâtiments et lieux publics, espaces verts et forêts)
- Gestion des infrastructures de production et de distribution d’eau potable
- Exploitation des systèmes de traitement des eaux usées
- Déneigement et salage des voies publiques
- Services de secrétariat de mairie et gestion comptable pour les communes
Le SIVOM intervient sur 10 communes
En élargissant leur champ d’action, les agents interviennent désormais dans 10 communes du Doubs, à savoir : Abbans-Dessous, Abbans-Dessus, Boussières, Busy, Larnod, Osselle-Routelle, Rancenay, Thoraise, Torpes, et Vorges-les-Pins.

Fonctionnement

Le SIVOM est dirigé par un comité syndical composé de représentants des communes membres, qui sont des élus municipaux.
Chaque commune dispose d’un certain nombre de sièges en fonction des compétences choisies et de sa population.
Le comité se réunit quatre fois par an pour décider des actions à mener, voter les budgets et approuver les projets.
Financement
Le financement du SIVOM repose principalement sur les contributions des communes membres, calculées en fonction des heures de services dont elles bénéficient. Des subventions ou financements spécifiques peuvent également être obtenus pour certains projets.

Avantages
Mutualisation des coûts : Permet de réaliser des économies d’échelle en partageant les coûts des services communs.
Amélioration des services : Les petites communes peuvent bénéficier de services de qualité qu’elles ne pourraient pas financer seules.
Gestion optimisée : Les projets sont coordonnés à une échelle plus large, facilitant la planification et l’efficacité.